Valéo toujours premier dans les dépôts de brevets à l’INPI
Qui a dit que l’industrie automobile française était en berne et manquait d’audace ? L’équipementier Valéo décroche le titre du plus grand breveteur de l’hexagone, pour la troisième année consécutive. Ses brevets 2018 répondent aux nouvelles attentes du marché automobile.
Cocorico ! Valéo arrive en tête du palmarès des brevets enregistrés auprès de l’INPI, l’Institut National de la Propriété Individuelle.
Cela signifie que Valéo est l’entreprise française la plus prolixe en dépôt de brevets qui lui garantissent l’exclusivité et l’entière possession des avancées technologiques découvertes.
Spécialisé dans la recherche et le développement d’électronique de pointe dans le domaine de l’automobile, Valéo a déposé 784 brevets en 2018.
L’entreprise française est celle qui dépose le plus de brevets au niveau européen, selon l’Office Européen des Brevets.
Au niveau mondial, Valéo se hisse à la 18ème place.
Présent dans toutes les automobiles, Valéo conçoit et produit les capteurs d’assistance à la conduite dans des variantes multiples (capteurs à ultra-sons, caméras, radars, scanner laser) ainsi que le seul radar LIDAR produit en grande série pour la conduite autonome, le SCALA.
Valéo mise sur l’électrification et l’autonomisation
En continuant d’investir dans la recherche et le développement au travers de ses 59 centres, Valéo cumule les dépôts de brevets lui permettant de consolider son monopole dans le domaine.
En 2018, un tiers des fonds engagés ont été utilisés dans la recherche de la conduite autonome, et le reste dans l’élaboration de technologies visant à réduire les émissions de CO2.
Ces innovations engagées depuis trois ans par le dépôt massif de brevets apportent une belle visibilité du groupe. En effet, les commandes passées par les constructeurs à l’équipementier sont composées à 53% de nouveaux produits.
Valéo mise aussi sur l’électrification des véhicules et capitalise donc dans ce sens : les années à venir seront décisives pour l’automobile qui s’automatise et s’électrifie, mais aussi pour le groupe français qui compte 20.000 ingénieurs parmi ses 113.000 collaborateurs.
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