Essai BMW iX1 : la gamme X1 au complet
Avec la version 100% électrique, la gamme du BMW X1 est au complet et vous offre un large choix de motorisations. Aux extrêmes, on trouve des versions 100% thermiques ou 100% électriques, complétées par des hybrides « légers » ou rechargeables.
Une autonomie annoncée entre 413 et 438 kilomètres
Au sein de la gamme, c’est la version électrique qui affiche la plus petite autonomie. Le diesel 3 cylindres de 150 chevaux vous permettra de parcourir environ 900 kilomètres grâce à son réservoir de 45 litres et sa consommation moyenne annoncée d’environ 5 litres au 100 km.
Lors de notre test, réalisé par une température aux alentours de 5 degrés, nous avons enregistrés, au volant du iX1, une consommation moyenne de 20,8 kWh, dans le cadre d’un trajet (ville, route, autoroute) réalisé dans le respect des limitations de vitesse. De fait, avec une batterie de 64,7 kWh de capacité utile, il faut compter sur une autonomie d’environ 310 kilomètres. BMW annonce environ 400 kilomètres avec une consommation d’environ 17,5 kWh en cycle WLTP.
Le temps de recharge, de 10 à 80%, est annoncé en 29 minutes avec l’option 130 kW sur un chargeur capable de délivrer une telle puissance. Entre 0 et 100%, comptez 9h45 sur une borne de recharge de 7,4 kW (230 volts & 32 ampères).
BMW iX1 : un design séduisant
La BMW X1 a grandi. Elle est plus longue de 53 millimètres que sa devancière (4,50 mètres), plus large de 24 millimètres (1,84 mètre) et plus haute de 44 millimètres (1,64 mètre). Le coffre affiche entre 490 et 1495 litres sur les iX1 et les versions hybrides rechargeables (contre 540 à 1600 litres pour les autres modèles) en raison de la place allouées aux batteries. La banquette arrière coulissante n’est plus disponibles (contrairement aux autres motorisations thermiques)
Personnellement je regrette le choix du « curved display » qui rend impersonnel le tableau de bord, que l’on pourrait confondre avec celui d’une autre voiture. On se demande pourquoi les designers n’ont pas voulu se creuser les méninges pour arriver à concilier le design traditionnel de la marque et le progrès apporté par les écrans tactiles. Mêmes les boutons de réglage de la climatisation ont disparu et se retrouvent au sein de l’écran tactile. Cela s’avère nettement moins pratique à l’usage.